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Analyse

Publications connexes

Remerciements

Le projet de cartographie des plaques tournantes illicites a été élaboré par une équipe centrale dirigée par Lyes Tagziria et Lucia Bird. Cette recherche n'aurait pas pu voir le jour sans le dévouement et l'engagement de l'équipe de recherche principale de la GI-TOC, dont les efforts continus au cours de plusieurs années ont jeté les bases de ce travail. Nous sommes également reconnaissants aux consultants qui ont partagé leurs connaissances et leurs réseaux, ainsi qu'aux nombreuses personnes qui ont généreusement apporté leur expertise et leurs éclairages tout au long du processus de recherche.

Nous tenons à remercier tout particulièrement Flore Berger pour son importante contribution à la rédaction du rapport, ainsi que Mark Shaw et Tuesday Reitano pour leurs précieux retours et conseils. Nous remercions également les équipes chargées des publications et de la communication pour leurs efforts dans le cadre de ce rapport et de l'ensemble plus large des fiches sur les plaques tournantes illicites, ainsi que Café.art.br et Claudio Landi pour leur travail remarquable dans le développement de l’outil de cartographie en ligne des plaques tournantes illicites.

Enfin, on voudrait rendre hommage à José Luengo-Cabrera, dont l'expertise a contribué à initier la cartographie des plaques tournantes illicites, mais dont l'humour et la chaleur humaine ont été particulièrement appréciés par tous ceux qui ont travaillé avec lui.

Les sources des données externes utilisées dans l'outil en ligne comprennent le Armed Conflict Location & Event Dataset Project (ACLED), L'Organisation internationale pour les migrations (OIM), le United States Geological Survey (USGS), la Banque mondiale, Natural Earth et l’Université de Maryland/Global Forest Watch.

Le projet

Pour faire face aux défis complexes de la criminalité transnationale organisée, le projet " Appui à l'atténuation des effets déstabilisateurs de la criminalité transnationale organisée (M-TOC) " combine les réponses traditionnelles en matière de sécurité avec des mesures de résilience prises par les communautés, éclairées par des recherches de pointe sur l'intersection des économies illicites et de l'instabilité dans la zone transfrontalière du Ghana, de la Côte d'Ivoire et du Burkina Faso.

Le projet "Appui à l'atténuation des effets déstabilisateurs de la criminalité transnationale organisée (M-TOC)" est un projet de la CEDEAO financé par le ministère fédéral allemand des Affaires étrangères, mis en œuvre par la Deutsche Gesellschaft fur Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH, et la Global Initiative against Transnational Organized Crime (GITOC), pour la période de 2024 à 2025.

L'Observatoire

L'Observatoire des économies illicites en Afrique de l'Ouest de la GI-TOC, créé en 2021, regroupe des chercheurs travaillant dans toute l'Afrique de l'Ouest et le Sahel. L'Observatoire s'efforce de mettre en lumière l'économie politique du crime organisé transnational dans la région, en se concentrant sur les liens entre les marchés illicites, l'instabilité et les conflits. L'Observatoire applique une approche partenariale, en collaborant avec la société civile de toute la région et en lui apportant son soutien. Dans ce cadre, l'Observatoire cartographie les centres, les itinéraires et les flux des marchés illicites, ainsi que les principaux acteurs, en évaluant leurs implications pour la stabilité régionale, les conflits, la gouvernance et les tensions sociales dans la région. Les pays relevant du champ d'action de l'Observatoire sont le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, le Cameroun, la République centrafricaine, le Tchad, la Côte d'Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo.

La GI-TOC

La GI-TOC est un réseau de professionnels œuvrant en première ligne contre l’économie illicite et les acteurs criminels. À travers un réseau mondial d’observatoires de la société civile sur l’économie illicite, la GI-TOC suit l’évolution des tendances, développe une base factuelle pour l’action politique, diffuse l’expertise de son réseau et favorise des réponses multisectorielles et holistiques. Grâce à son Fonds pour la résilience, la GI-TOC soutient des militants communautaires et des organisations locales travaillant dans des contextes où la gouvernance criminelle compromet gravement la sécurité et les moyens de subsistance des populations.